Tentative de synthèse sur ce que l’on sait déjà des dangers à court et long termes de ces produits, moins d’un an après le début des campagnes d’injections massives.
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28 AOÛT 2021
1 – INTRODUCTION
Ceci est une tentative de vulgarisation et de synthèse des données actuelles sur la dangerosité présumée des vaccins géniques expérimentaux contre la Covid, réalisée par un simple citoyen, sans compétences spécialisées. Beaucoup de choses ont été dites et publiées, et cette masse même, alors qu’elle est cachée ou discréditée par la propagande déchaînée actuelle, pose un problème pour les personnes non averties souhaitant tout simplement avoir accès à un débat public contradictoire qui fasse justice aux arguments des uns et des autres. Je n’ai donc d’autres prétention que de regrouper les éléments existants que j’ai repérés, et de les mettre à la disposition des personnes voulant être au courant des arguments de ceux qui contestent le récit dominant du gouvernement et des médias. Toutes les personnes qui voudraient compléter ou corriger ce dossier avec des éléments importants manquants, sérieux et sourcés, sans noyer ce dossier, sont les bienvenues. Si, par contre, c’est pour reprendre les éléments officiels ou ceux des médias dominants, ce n’est pas la peine, puisque cette propagande monopolise déjà de manière hégémonique le débat public.
La logique aurait voulu que nous examinions dans un premier temps si un vaccin est nécessaire ou même simplement pertinent, ou pas, dans cette nouvelle épidémie, puis dans un deuxième temps si ceux qui sont actuellement mis en avant sont efficaces, et enfin de vérifier si ces injections encore expérimentales sont sûres. Car pour savoir si nous devons accepter de se faire injecter un produit vaccinal encore mal connu, il faut savoir si nous ne pouvons faire face à cette épidémie autrement (en traitant notamment, en particulier les personnes fragiles), et si la réponse est négative, au moins si cette prise de risque en vaut la peine, c’est-à-dire si ces injections s’avèrent efficaces pour éviter de contracter l’épidémie, et de la diffuser, ce qui est le but d’un vaccin. Mais le temps nous est compté, et étant donnée l’extraordinaire pression légale, professionnelle, sociale et médiatique exercée sur les citoyens pour qu’ils participent tous, et fassent participer leurs enfants, à cette expérimentation en grandeur nature, notamment à l’occasion de la rentrée scolaire qui vient, l’urgence et l’efficacité imposent de commencer par la fin, à savoir la dangerosité désormais avérée de ces injections génétiques. Le reste (la question de la nécessité et de l’efficacité des nouveaux vaccins Covid) sera donc réalisé plus tard, dans une seconde partie de cette synthèse.
Il faut en effet stopper, autant que faire se peut, cette folle course en avant qui nous pousse à faire prendre des risques inconsidérés, irréversibles et de surcroît inutiles à nos enfants, et à tous ceux qui n’ont pas encore pris de deuxième dose, voire de troisième pour les « doubles vaccinés ». Car tout indique que les effets indésirables possibles sont cumulatifs et s’aggravent à chaque dose injectée. Dans ce premier volet, nous allons donc faire un tour synthétique de tous les éléments disponibles concernant la dangerosité avérée et potentielle des « vaccins » génétiques. Vaccins est mis entre guillemets (cette question n’est pas essentielle et dans le reste du dossier j’enlève les guillemets), étant donné que cette technique génétique, mise en application pour la première fois afin de nous faire acquérir une immunité acquise artificielle, est en de très nombreux points innovante (ce qui pour un nouveau médicament ou vaccin n’est pas un point positif du tout, étant donné le très fort taux d’échec des innovations médicales en pratique). Elle ne ressemble en rien aux techniques vaccinales précédentes, puisqu’ici c’est notre propre corps qui est chargé de fabriquer les antigènes qui vont stimuler notre système immunitaire, afin que ce dernier s’entraîne à produire les anticorps correspondants. On n’inocule pas en effet un virus inactivé ou atténué, mais un Arn messager, ou un Adn ad hoc (adénovirus), qui par toute une série d’artifices, va faire produire par nos propres cellules la fameuse protéine Spike du Sars-Cov-2. Du moins celle, légèrement modifiée (problème éventuel), du premier virus, avant les variations qu’il a connu par la suite (problème avéré). On le verra, cette technique indirecte est l’occasion de beaucoup d’incertitudes stratégiques sur des éléments pourtant cruciaux d’une technique vaccinale quelconque, notamment la maîtrise de la posologie et de la localisation des antigènes produits artificiellement. Mais passons directement aux différents points à analyser pour comprendre pourquoi ces injections expérimentales posent toute une série de problèmes normalement rédhibitoires pour une campagne d’injections de masse en population générale.
2 – UNE NOUVELLE TECHNIQUE VACCINALE ENCORE NON MAÎTRISÉE, TOUJOURS EN PHASE D’ESSAI CLINIQUE, ET IMPOSÉE EN POPULATION GÉNÉRALE
- Déterminer la sûreté d’un nouveau vaccin demande impérativement du temps.
Pour aborder la dangerosité de cette technique génétique, encore très récente, et appliquée pour la 1ère fois en vaccination, il faut d’abord rappeler à quel point personne, ses concepteurs comme les autres scientifiques, quel que soit leur niveau, ne maîtrise son fonctionnement réel en population générale, sur la durée. De nouveaux médicaments, de nouveaux vaccins, sortent très régulièrement des officines de recherche et développement des laboratoires pharmaceutiques. Mais une proportion très faible restent comme des thérapeutiques approuvées par les autorités de contrôle (pourtant gangrenées de conflits d’intérêts), et passent le test du temps en prouvant leur efficacité réelle et leur innocuité sur le temps long. Développer de tels produits est un processus très complexe, très long, très coûteux (une partie du coût et des innovations étant assurée par la recherche publique), et surtout très incertain (mais au final très rentable pour les laboratoires malgré les innombrables échecs). La physiologie humaine étant d’une extrême complexité, mettant en jeu des phénomènes parfois non linéaires (donc non prévisibles par une démarche analytique), quelque chose de valable en théorie, ou encore in vitro, peut se révéler une impasse totale, voire une catastrophe, en population réelle, à court, moyen et long terme. Rien ne remplace la durée pour s’en assurer, car les interactions entre plusieurs phénomènes imprévisibles, et cumulatifs, ne sont lisibles que lorsque le temps et les statistiques comparées entre les cobayes et les groupes contrôles nous montrent que les populations qui ont expérimenté une nouvelle thérapeutique ne font pas face à des effets secondaires indésirables graves ou mortels, sur le moyen et long terme.
Prenons un exemple hypothétique. Nous verrons qu’une partie des inquiétudes scientifiques actuelles sur les dangers de l’inoculation de la protéine Spike, fait apparaître la possibilité de pathologies microvasculaires (inflammations et petits caillots sanguins appelés microthrombi). Si elles apparaissent, par exemple, dans les poumons, vu leur taille microscopique, elles n’apparaissent pas sur un scanner de contrôle, et le « vacciné » ne s’en aperçoit pas. Mais pour assurer le même débit sanguin dans les poumons, et alors que la circulation est désormais altérée par ces micro-caillots et inflammations, le cœur doit désormais exercer une pression accrue, ce qui le fatigue. Ces lésions, dans certaines régions du corps, sont permanentes, les cellules correspondantes ne se renouvelant pas. Si notre vacciné a 20 ans, ce n’est que dans quelques années, ou simplement vers 35/40 ans qu’apparaîtront alors des problèmes cardiaques normalement réservés à des gens beaucoup plus âgés. Et toute une série de phénomènes similaires exigent une durée minimale afin de s’assurer des dysfonctionnements éventuels produits par cette intervention médicale innovante et non encore maîtrisée.
L’argumentaire de ceux qui défendent de manière irrationnelle (ou intéressée) la stratégie uniquement centrée sur les nouveaux « vaccins » (ce mot étant à lui seul capable de déclencher les passions des pour et des contre) met en avant que la durée historiquement faible de ces essais cliniques (en moyenne ils durent entre 7 et 12 ans, et ici quelques mois !), se justifie par l’ampleur inhabituelle des cohortes impliquée dans les essais contrôlés par les labos en amont de leur lancement sur le marché avec des procédures d’autorisations temporaires d’urgence. Et d’invoquer, toujours dans la même logique argumentative, que désormais ces injections ont été réalisées des milliards de fois, ce qui nous donne un recul exceptionnel. Mais cet argument est absurde ! Tout ce que cela nous donne, c’est un panel important d’essais de court terme, et ne nous dit toujours rien des effets secondaires indésirables sur le moyen et le long terme ! Seul le temps nous le dira, encore une fois rien ne remplace la durée, et certainement pas la quantité, bien évidemment.
Or, il faut rappeler que l’on est normalement beaucoup plus exigeant en termes de sécurité pour un vaccin que pour un médicament. Pourquoi ? La raison est évidente. On donne un médicament à une personne malade, afin qu’elle puisse faire face à cette maladie, en balançant les risques liés à la prise du médicament, avec les bénéfices que l’on en attend. Un vaccin, par contre, est une intervention médicale préventive, et partant, que l’on effectue sur des personnes bien portantes, en vue d’éviter de manière efficace la survenue éventuelle d’une maladie très dangereuse. Le moins que l’on puisse exiger d’une intervention médicale sur une personne bien portante, c’est que cette intervention soit sans risque avéré, ou du moins que ce risque soit extrêmement faible, encore plus faible que sur un médicament courant. A fortiori si c’est une campagne de vaccination massive, en population générale. Occasionner par une intervention médicale généralisée non nécessaire, des morts, ou des pathologies graves irréversibles, pour tenter d’éviter une maladie, la Covid, très peu mortelle pour les personnes qui ne souffrent pas de comorbidités, semblerait en effet totalement absurde, et scandaleux.
- Une minorité de vaccins passent avec succès la phase III des essais cliniques.
Dans une étude récente publiée en mai 2021 et revue par les pairs, Stéphanie Seneff, chercheuse principale au prestigieux MIT, rappelle une étude récente pourtant financée par la fondation Gates (qui n’est pas connue pour sa tiédeur vis-à-vis des vaccins), qui établit statistiquement les chances pour qu’un nouveau vaccin puisse aboutir à un succès médical. « Le développement de vaccins à ARNm contre les maladies infectieuses est sans précédent à bien des égards. Dans une publication de 2018 parrainée par la Fondation Bill et Melinda Gates, les vaccins ont été divisés en trois catégories : Simple, Complexe, et Sans précédent (Young et al., 2018). Les vaccins simples et complexes représentaient des applications standard et modifiées des technologies vaccinales existantes. Sans précédent représente une catégorie de vaccin contre une maladie pour laquelle il n’y a jamais eu auparavant de vaccin approprié. Les vaccins contre le VIH et le paludisme en sont des exemples. Comme l’indique leur analyse, les vaccins sans précédent devraient prendre 12,5 ans pour être développés. Plus inquiétant encore, on estime qu’ils ont 5 % de chances de passer les essais de phase II (évaluation de l’efficacité) et, sur ces 5 %, 40 % de chances de passer les essais de phase III (évaluation des avantages pour la population). En d’autres termes, on a prédit qu’un vaccin sans précédent avait une probabilité de 2 % de réussir au stade d’un essai clinique de phase III. Comme le disent sans ambages les auteurs, il y a une « faible probabilité de succès, en particulier pour les vaccins sans précédent. » (Young et al., 2018) »
- Mais ces injections multipliant les innovations de tout ordre, leur efficacité et leur innocuité sur le long terme sont encore plus douteuses…
C’est-à-dire que ces nouveaux vaccins, encore en phase III (en réalité une situation inédite et confuse où la pharmacovigilance en population générale est mélangée à la fin des essais cliniques de phase III, ce qui crée plus de la confusion qu’autre chose…), ont statistiquement 40 % de chances d’être sûrs et efficaces. En général donc. Mais il se trouve que ces vaccins mobilisent un nombre d’innovations parfaitement inhabituel, et qu’ils ont été développés et testés en quelques mois ! Inutile de dire que ces deux réalités inédites font encore dramatiquement baisser leur chance de se révéler efficaces et sûrs. Toujours tirés de cet article de Seneff, voilà les innovations principales, médicales ou relevant de la politique de mise en œuvre administrative de ces injections en population générale, de ces « vaccins » génétiques, cette liste étant loin d’être exhaustive (il faudrait en outre rajouter la protéine Spike elle-même, modifiée, qui est produite par nos cellules après injection de l’ARNm, qui se révèle tout à fait problématique et dont l’interaction avec la physiologie humaine est encore très mal connue, ainsi que les nanoparticules utilisées), ni définitive :
« De nombreux aspects de Covid-19 et du développement ultérieur du vaccin sont sans précédent pour un vaccin déployé pour une utilisation dans la population générale. Parmi ceux-ci, citons les suivants :
1. Première utilisation du PEG (polyéthylène glycol) dans une injection *
2. Première utilisation de la technologie des vaccins à ARNm contre un agent infectieux
3. Première mise sur le marché d’un produit par Moderna
4. La première fois que les responsables de la santé publique indiquent aux personnes vaccinées qu’elles doivent s’attendre à une réaction indésirable
5. Le premier à être mis en œuvre publiquement avec rien de plus que des données préliminaires sur son efficacité
6. Premier vaccin à ne pas faire d’allégations claires sur la réduction des infections, de la transmissibilité ou des décès.
7. Premier vaccin contre le coronavirus jamais tenté chez l’homme
8. Première injection de polynucléotides génétiquement modifiés dans la population générale. »
[* 70% des personnes développent des anticorps contre cette substance – cela signifie que de nombreuses personnes peuvent éventuellement développer des réactions allergiques, voire mortelles, à la vaccination, dues à la seule présence de cette substance dans le vecteur ARNm.]
Bref, l’essai infiniment trop court pour un nouveau vaccin, l’accumulation d’innovations non maîtrisées, tout cela fait qu’il faudrait un miracle pour que ces injections géniques se révèlent efficaces et inoffensives sur le long terme. A vrai dire, à court terme, elles se révèlent déjà un désastre, comme nous allons le voir. Mais il n’est pas interdit de craindre que le pire, hélas, soit devant nous. Les autorités publiques auront joué les apprentis sorciers avec la santé de la population dont ils ont la charge, tout cela pour avantager des mastodontes financiers très présents dans la corruption de la haute fonction publique… Cela nous rappelle que la caste politique actuelle, opposition comprise, qui a accepté l’inacceptable depuis des décennies, n’ayant plus le moindre sens de l’intérêt général, doit entièrement être renouvelée par une révolte citoyenne sous une forme ou une autre.
Sources :
- L’article de Stephanie SENEFF et Greg NIGH revu par les pairs en comité de lecture.
3 – BREF RAPPEL DES DEUX TECHNIQUES GÉNÉTIQUES MOBILISÉES PAR CES INJECTIONS EXPÉRIMENTALES : ARNm* ET ADN
[*« ARNm » signifie acide ribonucléique messager. L’ARN est l’étape intermédiaire entre l’ADN, notre usine génétique, et la production des protéines correspondantes (malgré des erreurs car ce n’est pas un programme informatique). L’ARNm est une copie transitoire d’une portion de l’ADN correspondant à un ou plusieurs gènes. Ici, cette étape est modifiée en laboratoire pour être le vecteur de substances que notre corps n’aurait pas créées spontanément, et procède de l’ingénierie génétique (OGM et thérapies géniques).]
Les vaccins classiques injectent directement l’antigène, donc le virus entier désactivé ou atténué, et contenant toutes les protéines du virus. La quantité d’antigène présente est ainsi limitée (et désactivée ou atténuée), et sa localisation maîtrisée ; cela va faire produire au corps des anticorps contre le virus mais les antigènes injectés sont en quantité définie et vont ensuite être éliminés. Des problèmes peuvent survenir (ADE, réactions aux adjuvants, échappée immunitaire, etc.), mais ces dangers sont connus.
Ici, nous avons affaire à des vaccins expérimentaux, où l’on injecte de l’ARNm (Pfizer, Moderna) ou de l’ADN (Sputnik, Astrazeneca, Janssen, tous vaccins à vecteur adénoviral, voir sources) qui vont faire produire nos cellules la protéine Spike (légèrement modifiée et basée sur la Spike du variant chinois originel, rendant l’immunité acquise ainsi possiblement obsolète) qui devient alors l’antigène par cette manière indirecte. Or ces techniques indirectes sont instables, peu maîtrisables in vivo. Nous allons le voir tout de suite, cela entraîne des conséquences radicales en cascade.
Sources :
- Les explications de Christian VELOT, docteur en biologie, HDR, sont didactiques et précieuses.
- Deux articles pour les personnes voulant approfondir les caractéristiques des vaccins expérimentaux, et des autres plus classiques (non disponibles), contre la Covid : article 1 – article 2
- Un célèbre docteur newyorkais, le Dr ZELENKO, lanceur d’alerte particulier (religieux) mais bien renseigné avertit crûment des Israéliens des dangers qui les menacent avec cette campagne Pfizer (ses prédictions sont apocalyptiques et espérons-le un peu paranoïaques, mais son analyse de la situation présente, déjà très fortement préoccupante, est bien plus factuelle, et présentée de manière claire et frappante) ; cette vidéo est particulière, il faut donc l’écouter ici avec un esprit critique mais ouvert.
4 – LES VACCINS GÉNIQUES NE PERMETTENT DE MAÎTRISER NI LA POSOLOGIE NI LA LOCALISATION DE LA PRODUCTION DES ANTIGÈNES DANS NOTRE CORPS
Deux problèmes inédits, majeurs, proviennent de cette innovation. On ne maîtrise pas la posologie, à savoir la quantité d’antigènes produits par nos cellules. Trop, pas assez, pour combien de temps, au détriment du fonctionnement normal de notre système immunitaire ? Cela dépend, et seul le temps nous le dira…
Tout aussi grave, on ne maîtrise pas non plus la localisation ! Les injections de milliards d’ARNm ou d’ADN, visant à faire produire par nos cellules des protéines Spike (protéine toxique, comme nous le verrons plus loin), étaient censées rester sagement dans le triceps, le lieu de l’injection. Mais il s’avère qu’en pratique, on retrouve ces Spike, à 70 %, en dehors de cette zone originelle, pour finir dans le système sanguin, et, partant, dans nos organes vitaux. Cette biodistribution erratique est certainement due à l’instabilité intrinsèque de ce matériel génétique artificiel, et du fait qu’il soit possiblement dégradé lors de l’étape de sa fabrication industrielle de masse. Ce qui nous rappelle, s’il en était besoin, que seules les techniques anciennes et éprouvées par le temps sont un tant soit peu maîtrisées, ce qui est parfaitement logique. Entre l’immense complexité de la machinerie physiologique humaine, et l’aspect encore expérimental de ces techniques génétiques encore toutes récentes, il ne faut pas s’étonner que les résultats concrets soient très éloignées de la théorie et des rapports préliminaires des laboratoires (ces rapports, de plus, n’étant pas autre chose que des objets de communication marketing, un laboratoire pharmaceutique privé n’étant pas une entreprise philanthropique visant la santé, mais une multinationale visant le profit maximal et la montée du cours de ses actions, et rien d’autre).
Sources :
- Les documents de Pfizer eux-mêmes, disponibles sur le site européen du médicament (EMA), citent les éléments indiquant une biodistribution erratique de leur ARNm injecté, même s’ils tentent évidemment de rester tout aussi vagues que rassurants : « Biodistribution : Plusieurs rapports de la littérature indiquent que les ARN formulés par LNP (nanoparticules lipidiques) peuvent se distribuer de manière plutôt non spécifique dans plusieurs organes tels que la rate, le cœur, les reins, les poumons et le cerveau. Dans le même ordre d’idées, les résultats de l’étude 185350, récemment transmise, indiquent un schéma de biodistribution plus large, avec une radioactivité faible et mesurable dans les ovaires et les testicules. », page 54 du rapport. Voir aussi pour le Moderna pages 46/47 (drainage lymphatique et foie) : ici et ici.
- Une autopsie (si rare et pourtant indispensables à large échelle) d’un vacciné, montrant que le matériel ARNm s’est propagé partout.
5 – TOXICITÉ ÉLEVÉE DE LA PROTÉINE SPIKE ELLE-MÊME, QUE LES VACCINS GÉNIQUES FONT POURTANT PRODUIRE DE MANIÈRE NON MAÎTRISÉE PAR NOS CELLULES
Autre point essentiel pour comprendre que ces vaccins sont parfaitement déraisonnables, le fait que l’on sache depuis longtemps que la protéine Spike des coronavirus est une toxine dangereuse. Une bonne partie des problèmes liés à la Covid vient de la protéine Spike elle-même. L’idée de la faire produire par nos propres cellules est donc tout sauf une bonne idée, a fortiori si l’on n’est pas capable de garantir leur nombre et leur biodistribution. Cerise sur le gâteau, la Spike modifiée mobilisée par les vaccins géniques semble être une toxine encore plus problématique que celle du Sars-Cov-2… Sa capacité à migrer dans tous nos organes, à se lier à nos récepteurs ACE-2 (enzyme liée à la face externe des membranes plasmiques de cellules du poumon, des artères, du cœur, du rein et de l’appareil digestif), à s’incorporer aux cellules endothéliales (les cellules qui tapissent la paroi interne – endothélium – des vaisseaux sanguins et qui sont en contact direct avec le sang, jouant un rôle primordial dans le développement et le maintien des fonctions vasculaires) jouant ainsi un rôle direct dans les micro-thromboses constatées, à jouer éventuellement un rôle nocif de sénescence anticipée de nos cellules, et à stimuler des maladies neuro-dégénératives et auto-immunes, font de cette protéine toxique un problème à éviter le plus possible, et non pas à produire par nos cellules de manière incontrôlée, c’est évident !
Sources :
- L’article scientifique de Stephanie SENEFF déjà évoqué aborde cette toxicité de la protéine Spike.
- Un essai important et remarqué, publié & revu par les pairs, du début de l’année a implanté des protéines Spike (du moins l’équivalent) dans des hamsters pour étudier ce qui se passe, et les résultats furent incontestablement inquiétants.
- Dangers de la Spike sur les cellules endothéliales (troubles de la coagulation) : ici, ici, ici, ici, ici et ici.
- Spike et sénescence prématurée des cellules par Walter CHESNUT (les sources sont dans le thread) : ici et ici.
- Dérèglements de l’immunité : ici, ici, ici, et ici (à propos de ce dernier lien : le professeur Sucharit BHAKDI a été rédacteur en chef de la revue Medical Microbiology and Immunology de 1990 à 2012).
- Une forte remarque épistémologique, de base, de Christian VELOT : seuls les personnes qui récitent le credo officiel peuvent se permettre d’annoncer des propos soit alarmistes – sur la Covid -, soit rassuristes – sur des vaccins expérimentaux -, sans la moindre preuve, et sans qu’on leur demande ; pour les autres, qui contestent le récit officiel, leurs preuves ne sont jamais suffisantes. A voir ici (à 1h25min40s).
6 – LES REMONTÉES DE PHARMACOVIGILANCE POUR CETTE CAMPAGNE MONDIALE DE VACCINATION GÉNIQUE SONT D’UN NIVEAU JAMAIS VU
La pharmacovigilance est là pour assurer les remontées spontanées d’effets secondaires suite à la prise d’un médicament ou d’un vaccin. C’est d’ailleurs une de ses principales faiblesses. C’est une démarche passive, donc très incomplète et juste capable d’établir un lien de corrélation entre ces effets indésirables et la thérapeutique en question. On ne suit pas activement par exemple les personnes ayant subi des injections encore expérimentales dans le cas qui nous occupe. On ne peut le faire pour tout le monde (quoiqu’un suivi médical minimum par les médecins de référence ne serait pas du luxe), mais on pourrait au moins le faire pour une portion de vaccinés pris au hasard. Lorsqu’un décès survient en lien avec la vaccination, il faudrait à tout le moins établir une autopsie systématique, ou aléatoire, afin d’établir, ou d’infirmer, un lien de causalité en bonne et due forme. Rien de tout cela n’est fait. La démarche est donc volontaire (médecin ou particulier). Or elle est laborieuse et très technique (une demi-heure pour remplir la fiche par une personne expérimentée). Les médecins, généralement ayant poussé à la vaccination, ne sont pas du tout enthousiastes pour alerter sur les dangers de la vaccination, c’est parfaitement logique, et prendre ainsi sur leur temps compté pour se tirer une balle dans les pieds. Les non déclarations sont donc la règle et la déclaration l’exception. Des études ayant tenté d’établir ce ratio concluent qu’environ entre 5 %, et 20 % au grand maximum (d’autres parlent de 1% !) des effets secondaires sont rapportés par la pharmacovigilance. C’est donc la pointe émergée de l’iceberg.
Un argument apparemment pertinent, mais parfaitement hypocrite est utilisé, grâce à ces faiblesses instituées : on ne peut établir de lien de causalité entre effets secondaires déclarés dans la pharmacovigilance, et les vaccins géniques. On vient de le voir, c’est par construction que c’est ainsi, et l’on pourrait faire autrement utilement, et facilement, mais cela n’est fait nulle part, tant les laboratoires pharmaceutiques contrôlent… les institutions de contrôle ! Bref. Mais surtout, malgré toutes ses faiblesses constitutives, la pharmacovigilance sert néanmoins depuis des décennies à alerter sur les effets secondaires. Un lien de corrélation statistique suffisamment massif alerte normalement les autorités de santé, et on peut suspendre un médicament ou un vaccin lorsque le niveau d’effets secondaires graves, notamment les décès ( !), dépassent un certain seuil. Habituellement, lorsque les données agrégées de la pharmacovigilance dans le monde signalent une vingtaine ou une trentaine de morts avérés en lien avec une campagne de vaccination (toujours sans lien de causalité dûment constaté), on suspend la campagne. Souvenons-nous que lors des polémiques intéressées contre l’Hydroxychloroquine ou encore contre l’Ivermectine, des médicaments plus sûrs que le Doliprane, le principe de précaution a été invoqué, arguant de risques cardiaques pour l’une et de surdosages dangereux pour l’autre, et de manques d’études scientifiques en double aveugle prouvant définitivement leur efficacité… Ici, avec aucune étude scientifique prouvant leur efficacité et leur innocuité, aucun principe de précaution, on peut foncer sans rien savoir de manière sûre et prouvée, et avec une technique et des substances pourtant inédites et administrée pour la 1ère fois en population générale. Un deux poids deux mesures qui sonne comme un lapsus révélateur.
Car c’est là où le bât blesse avec cette campagne expérimentale, pourtant toujours en phase d’essai clinique (donc on devrait être encore plus vigilant et prudent). Rien qu’en France, nous sommes à un millier de morts liés à la campagne dans les remontées officielles de pharmacovigilance, en moins de 6 mois de vaccination (et sans parler des effets secondaires graves, bien plus massifs, ayant nécessité une hospitalisation, et laissant des séquelles définitives, y compris chez les jeunes, qui ne risquaient rien de la Covid) ! En sachant que ce chiffre est très nettement sous-estimé, encore plus que d’habitude vue l’ambiance hystériquement et dogmatiquement pro-vaccinale de la communication institutionnelle autour de la Covid. Nous sommes face à des chiffres qui multiplient quasiment d’un facteur 100 le seuil de tolérance face aux remontées de pharmacovigilance. Dire que c’est du jamais vu est encore un large euphémisme. Rien que cela nous fait comprendre que nous avons passé une étape, et que ce que nous vivons n’a plus aucun rapport avec une crise « sanitaire », mais tout à voir avec une crise institutionnelle majeure, où toute retenue des pouvoirs en place a été abandonnée, ces derniers franchissant Rubicon sur Rubicon, à toute allure, appuyé par une propagande de guerre n’ayant plus aucun lien, même ténu, avec le réel.
Un exemple de comparaison avec la normale, basé sur les chiffres américains, plus détaillés et accessibles que les nôtres :

D’autres comparaisons similaires :



Dans le même esprit du 2 poids 2 mesures relevé précédemment, pour chaque mort imputé au vaccin parce que survenant dans la proximité immédiate de l’injection sur des personnes sans problème de santé identifié, on a de nobles précautions épistémologiques, il faut prouver le lien de causalité. Par contre, cela n’a choqué personne lorsqu’on a massivement imputé à la Covid, parfois de manière absurde, tous les morts à l’hôpital qui avaient été testés positifs Covid, quelle que soit la pathologie, le type d’accident qui les avaient fait venir à l’hôpital. Ce sont les fameux, et innombrables (des dizaines et des dizaines de milliers) morts avec Covid, automatiquement étiquetés, très officiellement, morts du Covid. Or, ce sont tous les morts avec Covid à l’hôpital, sans exception, qui ont été classés comme cela. Il n’y a donc ici aucune sous-déclaration, et aucune preuve de causalité, juste un lien de corrélation. Avec les morts du vaccin, c’est le raisonnement inverse qui s’applique bien sûr. Alors que l’on sait l’ampleur des sous-déclarations. Si l’on admet, généreusement, que la moitié des morts du vaccin remontés par la pharmacovigilance ne sont pas morts du vaccin mais d’autre chose, il n’y a plus que 500 morts. Mais comme il faut multiplier d’un facteur 10 les chiffres de pharmacovigilance, d’après tous ceux qui ont étudié ce problème classique de sous-déclaration, il y a donc à peu près 5000 morts. Tel serait le raisonnement si l’on voulait respecter une logique qui s’applique à tous les cas de figures, et non pas une logique à géométrie variable qui ne s’applique que pour valider une propagande officielle.
Sans surprises par rapport à ce que nous avons vu des caractéristiques de la protéine Spike créée par nos cellules suite aux injections génétiques, les effets secondaires graves qui parviennent à notre connaissance malgré tous les obstacles mis pour franchir les barrières de la pharmacovigilance actuelle, correspondent à des perturbations liées à des troubles vasculaires divers (débouchant notamment sur des myocardites et péricardites, inflammations graves du cœur, ou des AVC), et à des troubles de l’immunité.

Sources :
- Inflammation cardiaque après les vaccins à ARNm Covid-19 : une analyse mondiale de pharmacovigilance
Sur la vaccination des jeunes, indéfendable, à coup sûr criminelle (ils ne courent aucun risque mortel de la seule Covid, ils en courent avec les vaccins géniques) :
- Royaume Unis : surmortalité chez 15-44 ans pendant la campagne de vaccination :

7 – LA VACCINATION EN PÉRIODE ÉPIDÉMIQUE AVEC UN VACCIN PEU IMMUNISANT OUVRE UNE VOIE ROYALE AUX A.D.E.* ET AUX « ÉCHAPPÉES IMMUNITAIRES »**
[* ADE : quand une vaccination déficiente avantage les « anti-corps facilitants » et aggrave ainsi la maladie] [** Échappées immunitaires : apparition de variants sous la pression sélective d’un vaccin peu efficace]
Les dangers de la vaccination augmentent à chaque dose supplémentaire :

8 – LES DANGERS POSSIBLES SUR LE LONG TERME
Extrait de l’article déjà cité du Dr Jean-François Lesgards « Pourquoi la protéine Spike est toxique dans le COVID-19… Et aussi dans les vaccins ARNm et ADN» :
« Avec la deuxième injection (à partir de 21 jours) c’est un nouveau boost de spike qui est produit alors même que les anticorps et l’organisme sont en train de travailler à l’élimination de cette protéine. Même si Ogata et son équipe observent une présence beaucoup plus courte que pour la première dose (quelques jours), on a potentiellement une inflammation qui peut être chronique et étalée sur plusieurs semaines pouvant ainsi déstabiliser durablement l’équilibre inflammatoire dans les vaisseaux sanguins, le foie, le cerveau, les reins etc. On parle donc ici de la possibilité de provoquer les mêmes symptômes que le COVID mais aussi potentiellement de promouvoir toutes les maladies inflammatoires à moyen et long terme (cardiovasculaires, neurologiques, cancers, auto-immunes) en particulier chez les sujets qui ont déjà un terrain inflammatoire (diabète par ex) ou des antécédents. « Nous devrions surveiller soigneusement les conséquences à long terme de ces vaccins, surtout lorsqu’ils sont administrés à des individus, par ailleurs en bonne santé » (Suzuki YJ, Gychka SG, 2021). »
[A SUIVRE… ]